Ils sont 5 à 10 000 fois plus toxiques que le DDT et représentent aujourd’hui 1/3 des insecticides utilisés dans le monde. Chaque semaine, pourtant, une nouvelle étude démontre l’impact néfaste de ces néonicotinoïdes sur les abeilles, les pollinisateurs sauvages, les invertébrés aquatiques, les oiseaux et sur l’ensemble de la chaîne alimentaire. La démonstration scientifique est faite et indiscutable que les néonicotinoïdes sont extrêmement dangereux pour notre environnement et leurs effets demeurent préoccupants pour la santé
humaine. Les dangers que présentent les néonicotinoïdes sont liés à leur hyper-toxicité, qui se diffuse par systémie dans toutes les parties des végétaux, leur facilité de transfert dans l’eau, l’air et le sol, leur longue durée de vie et leur lente dégradation.
Deux documents réalisés par des ONG environnementalistes et des syndicats apicoles :